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Un officiel chinois a discuté avec des représentants de l'UE sur le Tibet: I

2012-01-02 13:25
Le 12 décembre 2011, Zhu Weiqun, le ministre adjoint exécutif du Département de Travail du Front uni du Comité central du PCC, a dîné et discuté avec des représentants de l’Union européenne et des chercheurs européens à Bruxelles.
 
Au cours du banquet, Zhu Weiqun leur a présenté la situation actuelle de la région autonome du Tibet et a répondu aux questions concernant le Dalaï-lama, les droits de l’homme au Tibet et l’immolation par le feu.
 
Tout d’abord, il a exposé les fruits du développement du Tibet depuis soixante ans. Puis il a réitéré le respect de la liberté de la croyance religieuse. Il a également critiqué certains membres au parlement européen qui ont invité le chef de la clique du Dalaï-lama.
 
« A l'heure actuelle, la Chine et l'UE ont établi une relation amicale et ont construit un partenariat stratégique global par le biais de dialogues multilatéraux. Le mécanisme de coopération couvre les domaines de l'économie, de la technologie et de l'humanité. La coopération bilatérale profite à deux côtés et même au monde entier, surtout sous le contexte de la crise financière internationale et de la crise de la dette de l'UE.
 
Lorsque la coopération entre les deux parties devient de plus en plus important, je me sens perplexe devant la persistance des accusations sans raison de l'UE sur la Chine. Au contraire, dans ma mémoire, le peuple chinois n'ont jamais critiqué les affaires intérieures de l'UE. Récemment, certains membres au Parlement européen insistent à inviter le nouveau chef du « gouvernement en exil » de la clique du Dalaï-lama à Bruxelles sans tenir compte des intérêts de la Chine. Ils lui ont même invité à prononcer un discours au nom de «Premier ministre de l’Administration centrale tibétaine» au Conseil des Affaires étrangères de l'UE, pour diffuser la soi-disant « indépendance du Tibet ».
 
Ces activités allant à l'encontre à la fois de l’engagement de l'UE à la Chine et des normes générales internationales. Si l'UE reconnaît que le Tibet fait partie de la Chine, elle n'a pas le droit d'inviter le chef de la clique séparatiste. J'espère que vous tous ici présents jouerez bien votre rôle pour empêcher de tels incidents terribles. »