Perle du ciel (Source d’image : Baidu)
Les principales méthodes d’expertise des perles du ciel sont suivantes :
1. Texture : les pierres de Dzi ont principalement quatre couleurs, y compris le blanc, le jaune claire, le noir et le brun. La pureté de couleur est une caractéristique essentielle des bonnes perles.
2. Lustre : en raison de l’antiquité et de longues années de port, il forme normalement une couche brillante sur la surface de la perle du ciel. En regardant à l'œil nu, elle ressemble au vernis. Alors que les pierres qui sont séchées au feu n’ont qu’une surface grise et blanche.
3. Intégrité: après de longues années de port, les vieilles perles du ciel seraient érodées et auraient des biseaux aux bouts. Cela fait aussi un critère d’expertise important. En générale, les petites érosions des perles, probablement faites lorsque l’on les prend pour garnir les statues de bouddha ou pour broyer des herbes médicinales, sont acceptables. Cependant les grandes fissures ou blessures ne sont pas admissibles.
4. Rayure de déflation : la soi-disant rayure de déflation signifie les vieillissements aux surfaces des perles. Qui se forment du fait des collisions mutuelles et sont généralement lunulaires.
5. Point de cinabre : le soi-disant point de cinabre signifie en effet le point rouge qui traverse la pierre. Mais toutes les perles du ciel n’ont pas de point de cinabre. L’existence du point de cinabre ne se rapporte pas à la gamme de Dzi.
6. Trou : le perçage est un chaînon clé dans la fabrication de perles du ciel. A l’époque, les perles sont trouées depuis les deux bouts de façon manuelle, qui n’apporte qu’une vitesse de perçage modeste et laisse ainsi un intérieur lisse.