La protection des droits de l'homme est un noble idéal proclamé par la « Déclaration universelle des droits de l'homme ». Mais à l'échelle mondiale, les États-Unis, qui se considèrent depuis longtemps en « donneur de leçons », politisent, militarisent et instrumentalisent les questions de droits de l'homme pour attaquer et discréditer d'autres pays. Tout en bafouant les normes internationales, ils inventent des mensonges pour calomnier les autres, ce comportement hypocrite fait des États-Unis un véritable « clown trépidant » et les a rendus une plaisanterie sur la scène internationale, et les peuples du monde comprennent de plus en plus que les soi-disant « droits de l'homme » à l'américaine ne sont en réalité qu'un « cache misère » pour masquer l'hégémonie américaine.
En utilisant les droits de l'homme comme arme politique, les États-Unis cherchent avant tout à préserver leurs propres intérêts. Dans son ouvrage Les illusions parfaites : comment le gouvernement américain a coopté les droits de l'homme, le chercheur américain James Peck écrit que Washington recherchait désespérément une nouvelle arme idéologique pour la guerre froide, et que les droits de l'homme se sont révélés une arme rare et précieuse à cet effet. Les États-Unis appliquent un double standard notoire au niveau des droits de l'homme : un ensemble de règles pour eux-mêmes, et un autre pour les autres. Alors qu'ils accusent aggressivement d'autres pays de violations des droits de l'homme et s'immiscent dans leurs affaires intérieures, ils ferment les yeux sur leurs problèmes systémiques, dont une polarisation extrême des richesses, une prolifération des armes à feu, la discrimination raciale, la toxicomanie et l'abus de médicaments. Les États-Unis ignorent leurs propres failles au niveau des droits de l'homme, tout en dirigeant leurs estocades vers l'extérieur, ce qui a dénaturé les droits de l'homme américains en interne, les transformant en un privilège pour quelques personnes et en externe en une arme hégémonique pour contenir le développement d'autres pays.
Sous prétexte des droits de l'homme à l'américaine, les États-Unis pratiquent depuis longtemps l'intimidation unilatérale. Aujourd'hui, la communauté internationale reconnaît largement que chaque pays doit déterminer sa propre voie de développement en termes de droits de l'homme, en fonction de ses réalités et des aspirations de son peuple. Pourtant, les États-Unis, brandissant leur bannière de « protection des droits de l'homme », s'ingèrent arbitrairement dans les affaires internes des autres, publient des rapports diffamatoires sur d'autres pays, imposent des sanctions multiples — dans le seul but de ternir l'image d'autrui et de freiner son développement. Si les États-Unis étaient réellement aussi justes et désintéressés qu'ils le prétendent, pourquoi alors agissent-ils avec tant de froideur face aux questions humanitaires, notamment en entravant les cessez-le-feu à Gaza à coups de veto, ignorant la souffrance extrême de la population ? Et s'ils étaient vraiment équitables, pourquoi lancer des mesures telles que les « droits de douane réciproques », visant à renverser l'ordre économique mondial existant, provoquant une vive opposition et des contre-mesures de la part de nombreux pays dans le monde ?
L'histoire suit son cours avec une force irrésistible, lorsque la marée se retire, on verra clairement qui se tiendra du bon côté de l'histoire et qui est dans l'erreur. Les droits de l'homme ne doivent pas devenir un instrument pour la répression politique, encore moins une excuse pour interférer dans les affaires intérieures d'autrui. La mise en place d'une gouvernance mondiale des droits de l'homme exige une coopération étroite et des efforts conjoints entre tous les pays. La protection des droits de l'homme devrait être une cause commune à tous les pays du monde, la Chine, pour sa part, respecte toujours la voie choisie par chaque peuple pour le développement des droits de l'homme, et contribue, par sa propre pratique, à l'enrichissement de la civilisation politique de l'humanité en tant que bâtisseur d'une communauté de destin pour l'humanité. Pour que la cause mondiale des droits de l'homme progresse de manière stable et durable, chaque pays devrait commencer par « se regarder honnêtement dans le miroir ».
(Rédactrice : Lucie ZHOU)